Découvrez l’atrophie géographique

Photo d’une personne en randonnée sur un sol brûlé.

L’atrophie géographique (AG) est une forme avancée de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) et l’une des principales causes de perte de vision significative au Canada et dans le monde1-3.


Explorez un nouveau territoire en AG

Illustration of an eyeball showing a GA lesion

La progression sans relâche de l’AG est irréversible4-7

Bien que la croissance des lésions puisse sembler lente, l’AG ne cesse d’évoluer et la perte de vision associée est irréversible4-7.

L’activation excessive du système du complément
peut entraîner la progression des lésions et la perte de vision4,8-10


Apprenez-en davantage sur le rôle du système du complément dans l’AG.

Image showing excessive activation of the complement system. Click to play video.

Lorsque les dommages à la rétine sont irréversibles, il s’agit d’atrophie géographique, ou « AG ». Pour découvrir ce qui se cache derrière la destruction, allons voir sous la surface.

Dans cette forme avancée de dégénérescence maculaire liée à l’âge sèche, des lésions atrophiques se forment sur la macula, causant une perte de vision fonctionnelle lorsqu’elles s’étendent. Ce groupe de protéines est appelé « système du complément ». Normalement, il combat les pathogènes et élimine les cellules anormales, mais en cas d’atrophie géographique, ou « AG », il peut devenir néfaste s’il est trop actif.

Cette protéine centrale, C3, joue un rôle clé dans l’activité excessive du complément. L’activation du complément entraîne le clivage de C3, qui se sépare en fragments actifs, C3a et C3b. Au-dessus de ce photorécepteur, des C3a ont commencé à s’accumuler. L’excès de C3a peut déclencher une inflammation chronique de la macula, laquelle peut contribuer à la mort cellulaire.

Ici, un groupe de C3b s’accumule sur la surface des cellules, ce qui les identifie comme candidates à la phagocytose par les cellules immunitaires. Mais les C3b sont loin d’en avoir fini : ils ont également des effets significatifs sur la cascade du complément, entraînant une collaboration chez les composants en aval, qui forment une nouvelle structure, le complexe d’attaque membranaire. Celui-ci, se fixe aux membranes cellulaires de l’épithélium pigmentaire rétinien, ou « EPR », et des photorécepteurs, dans lesquelles il crée des ouvertures.

C3 est une protéine centrale du système du complément, toutefois lorsque ce dernier est trop activé, elle joue un rôle déterminant dans l’inflammation, la phagocytose et la rupture des membranes cellulaires.

Ensemble, ces trois mécanismes mènent finalement à la mort des cellules de la rétine.

Pourquoi il est essentiel de reconnaître l’AG au premier coup d’œil

Comprendre comment déceler les patients atteints d’AG et surveiller la progression

Gros plan d’un œil brun

Apellis est une compagnie biopharmaceutique multinationale qui mise sur une science et une créativité courageuses. Nous nous engageons à répondre aux besoins non comblés des patients et professionnels des soins oculaires du monde entier.

Inscrivez-vous pour recevoir

des nouvelles

Recevoir des mises à jour sur l’AG d’Apellis

gros plan d’un œil bleu vert

Références :

  1. Gehrs, K.M., D.H. Anderson, L.V. Johnson et G.S. Hageman. « Age-related macular degeneration—emerging pathogenetic and therapeutic concepts », Ann Med, 2006;38(7):450-471. doi:10.1080/07853890600946724.
  2. Fleckenstein, M., P. Mitchell, B. Freund et coll. « The progression of geographic atrophy secondary to age-related macular degeneration », Ophthalmology, 2018;125(3):369-390. doi:10.1016/j.ophtha.08.038.
  3. Noble, J., et V. Chaudhary. « Five things to know about age-related macular degeneration », CMAJ, 2010;182(16):1759.
  4. Boyer, D.S., U. Schmidt-Erfurth, M. van Lookeren Campagne et coll. « The pathophysiology of geographic atrophy secondary to age-related macular degeneration and the complement pathway as a therapeutic target », Retina, 2017;37(5):819-835. doi:10.1097/iae.0000000000001392.
  5. Lindblad, A.S., P.C. Lloyd, T.E. Clemons et coll. (Age-Related Eye Disease Study Research Group). « Change in area of geographic atrophy in the age-related eye disease study: AREDS report number 26 », Arch Ophthalmol, 2009;127(9):1168-1174. doi:10.1001/archophthalmol.2009.198.
  6. Holz, F.G., E.C. Strauss, S. Schmitz-Valckenberg et M. van Lookeren Campagne. « Geographic atrophy: clinical features and potential therapeutic approaches », Ophthalmology, 2014;121(5):1079-1091. doi:10.1016/j.ophtha.2013.11.023.
  7. Sunness, J.S., E. Margalit, D. Srikumaran et coll. « The long-term natural history of geographic atrophy from age-related macular degeneration: enlargement of atrophy and implications for interventional clinical trials », Ophthalmology, 2007;114(2):271-277. doi:10.1016/j.ophtha.2006.09.016.
  8. Katschke, K.J. Jr, H. Xi, C. Cox et coll. « Classical and alternative complement activation on photoreceptor outer segments drives monocyte-dependent retinal atrophy », Sci Rep, 2018;8(1):7348. doi:10.1038/s41598-018-25557-8.
  9. Park, D.H., K.M. Connor et J.D. Lambris. « The challenges and promise of complement therapeutics for ocular diseases », Front Immunol, 2019;10:1007. doi:10.3389/fimmu.2019.01007.
  10. Yates, J.R.W., T. Sepp, B.K. Matharu et coll. (Genetic Factors in AMD Study Group). « Complement C3 variant and the risk of age-related macular degeneration », N Engl J Med, 2007;357(6):553-561. doi:10.1056/NEJMoa072618.